
Argumenter et hiérarchiser l’apport des principales techniques d’imagerie.
En évaluer le bénéfice, le risque et le coût.
Connaître les lésions radiographiques articulaires, osseuses et rachidiennes caractérisant les lésions malignes, septiques, inflammatoires et dégénératives.
Connaître la sémiologie des données du scanner, de l’IRM et de la scintigraphie osseuse et citer les contre-indications des examens scannographique, IRM et scintigraphique.
Savoir élaborer une stratégie d’imagerie concernant une maladie de l’appareil locomoteur ; savoir distinguer un examen :
– diagnostic : arbre décisionnel, notion de sensibilité et spécificité de l’examen appliqué à la méthodologie statistique ;
– diagnostic positif (OUI/NON) ;
– diagnostic de maladie active (OUI/NON) ;
– diagnostic de sévérité (OUI/NON) ;
– diagnostic de maladie potentiellement sévère (OUI/NON) ;
– de suivi de la maladie.
Connaître les principes, l’intérêt et les limites de l’échographie ostéoarticulaire, musculaire et tendineuse (notamment en ville) et de la tomographie par émission de positons (TEP).
Citer les RMO en imagerie du rachis.